M
Anonyme
Les services à la personne à temps partiel c'est le retour à l'esclavage du siècle et pour 95% ce sont les femmes qui le en sont les victimes.
On les fait travailler selon le bon vouloir de l'employeur du matin jusqu'au soir avec des amplitudes de travail supérieures à 12h00 par jour, dont des journées de 1h00 et d'autres de 12h00 sans la moindre heure supplémentaire.
En plus le nombre d'heures mensuelles varie selon les besoins de l'entreprise, exemple pour un contrat 150h00, elle peut travailler 30% en plus sans heures supplémentaires et le mois suivant redescendre à 100h00.
Bien que ce ne soit signalé ni pendant l'embauche ni sur le contrat, on leurs donne des missions de 30 minutes, jusqu'à 45 dans le mois, elles font de 1 à 10 missions par jour avec 3 à 5 coupures de 30 minutes à plusieurs heures, donc comme pour retourner chez elles et repartir chez le nouveau prestataire il faut de 0h30 à plus de 60 minutes elles sont obligées de rester sur place, voire même de ne pas pouvoir rentrer de la journée. Comme les "Retours-Allées" ne sont pas indemnisés elles font jusqu'à 2.750 km par mois dont les 2/3 ne sont pas payés.
Les employeurs sont en infraction avec le contrat de travail et la convention collective, mais quand on le signale à la direction de la maison mère qui est responsable pénale de leurs employés, elle nous renvoie à la direction de l'agence qui est responsable de la situation, qui n'apprécie pas la réclamation et aggravé la situation en espaçant encore plus les écarts entre les missions. on donne une mission de 0h30 et la mission suivante est espacée de 0h30 à plusieurs heures, ce qui fait plus de temps de trajets que de travail.
Tout cela pour obliger la personne à démissionner et ainsi en reprendre de plus jeunes afin d'éviter de payer les indemnités d'ancienneté et je me demande si l'employeur ne touche pas une prime à l'embauche.
Tout cela c'est avec la bénédiction de nos élus dont de nombreux sont aussi des chefs d'entreprise et ils ne vont pas faire des lois contre leurs propres intérêts.
On nous assome avec les extrêmes droite et gauche, mais pas d'extrêmes pourritures qui critiquent les dictateurs, mais pour se faire du fric commercent avec eux.
On les fait travailler selon le bon vouloir de l'employeur du matin jusqu'au soir avec des amplitudes de travail supérieures à 12h00 par jour, dont des journées de 1h00 et d'autres de 12h00 sans la moindre heure supplémentaire.
En plus le nombre d'heures mensuelles varie selon les besoins de l'entreprise, exemple pour un contrat 150h00, elle peut travailler 30% en plus sans heures supplémentaires et le mois suivant redescendre à 100h00.
Bien que ce ne soit signalé ni pendant l'embauche ni sur le contrat, on leurs donne des missions de 30 minutes, jusqu'à 45 dans le mois, elles font de 1 à 10 missions par jour avec 3 à 5 coupures de 30 minutes à plusieurs heures, donc comme pour retourner chez elles et repartir chez le nouveau prestataire il faut de 0h30 à plus de 60 minutes elles sont obligées de rester sur place, voire même de ne pas pouvoir rentrer de la journée. Comme les "Retours-Allées" ne sont pas indemnisés elles font jusqu'à 2.750 km par mois dont les 2/3 ne sont pas payés.
Les employeurs sont en infraction avec le contrat de travail et la convention collective, mais quand on le signale à la direction de la maison mère qui est responsable pénale de leurs employés, elle nous renvoie à la direction de l'agence qui est responsable de la situation, qui n'apprécie pas la réclamation et aggravé la situation en espaçant encore plus les écarts entre les missions. on donne une mission de 0h30 et la mission suivante est espacée de 0h30 à plusieurs heures, ce qui fait plus de temps de trajets que de travail.
Tout cela pour obliger la personne à démissionner et ainsi en reprendre de plus jeunes afin d'éviter de payer les indemnités d'ancienneté et je me demande si l'employeur ne touche pas une prime à l'embauche.
Tout cela c'est avec la bénédiction de nos élus dont de nombreux sont aussi des chefs d'entreprise et ils ne vont pas faire des lois contre leurs propres intérêts.
On nous assome avec les extrêmes droite et gauche, mais pas d'extrêmes pourritures qui critiquent les dictateurs, mais pour se faire du fric commercent avec eux.