Les sentiments sont partis. Enfin je crois. Ils laissent place au vide, au froid. Un froid glacial.
Je n'arrive pas à me dire que ça ne sera pas pathétique. Que ça ne sera pas douloureux et ridicule.
Pourquoi tu m'as tant marquée ? Pourquoi ? Nous n'avons rien vécu ensemble. Tout, tout ce que j'ai ressenti, je l'ai vécu seule. Dans mon imagination, dans mes rêves aussi. Parfois, dans la réalité.
Ce néant est-il vraiment ce qu'il est ? Ne reste-t-il pas quelque chose ?
Je te déteste. T'ais-je vraiment aimé ?
Je m'étais promis de ne plus écrire sur toi. J'ai l'impression d'écrire pour toi. J'ai l'impression de te donner tant d'importance. J'ai l'impression de tout ruiner. De foutre en l'air tout ces efforts. Tout ces putains d'effort pour quelque chose que tu ne soupçonnait même pas. Ou, si. Si. Tu le savais. Je sais que tu sais. Et je pense que tu sais que je sais, aujourd'hui. Et si tu ne le pense pas, si tu pense vraiment que je suis stupide à ce point, alors va te faire foutre. Mais, tu ne m'entends pas. Tu ne m'a jamais entendue. Et tu t'en fous.
Tu as raison.
Je suis peut-être stupide. Je l'ai certainement été. Et je le suis aussi très sûrement en écrivant encore à ton sujet.
Je ne voulais pas qu'un mec comme toi pollu mes pensées. Mais c'est trop tard. Le mal est fait. Les conneries ont été dîtes.
C'est ainsi.
C'est ainsi que s'achève ce tas désordonné de pensées et de sentiments dénué de sens.
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Je n'arrive pas à me dire que ça ne sera pas pathétique. Que ça ne sera pas douloureux et ridicule.
Pourquoi tu m'as tant marquée ? Pourquoi ? Nous n'avons rien vécu ensemble. Tout, tout ce que j'ai ressenti, je l'ai vécu seule. Dans mon imagination, dans mes rêves aussi. Parfois, dans la réalité.
Ce néant est-il vraiment ce qu'il est ? Ne reste-t-il pas quelque chose ?
Je te déteste. T'ais-je vraiment aimé ?
Je m'étais promis de ne plus écrire sur toi. J'ai l'impression d'écrire pour toi. J'ai l'impression de te donner tant d'importance. J'ai l'impression de tout ruiner. De foutre en l'air tout ces efforts. Tout ces putains d'effort pour quelque chose que tu ne soupçonnait même pas. Ou, si. Si. Tu le savais. Je sais que tu sais. Et je pense que tu sais que je sais, aujourd'hui. Et si tu ne le pense pas, si tu pense vraiment que je suis stupide à ce point, alors va te faire foutre. Mais, tu ne m'entends pas. Tu ne m'a jamais entendue. Et tu t'en fous.
Tu as raison.
Je suis peut-être stupide. Je l'ai certainement été. Et je le suis aussi très sûrement en écrivant encore à ton sujet.
Je ne voulais pas qu'un mec comme toi pollu mes pensées. Mais c'est trop tard. Le mal est fait. Les conneries ont été dîtes.
C'est ainsi.
C'est ainsi que s'achève ce tas désordonné de pensées et de sentiments dénué de sens.
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