L'électricité provenant d'éoliennes offshore, au large des côtes de Saint-Nazaire, a été produite pour la première fois en France cette semaine. Cela a été annoncé vendredi dernier par l'opérateur et le gestionnaire de réseau. « Le parc éolien offshore de Saint-Nazaire a produit les premiers mégawattheures à partir de l'éolien offshore français », a annoncé le consortium qui détient la ferme (par EDF Renewables, Enbridge et CPP) et RTE.
Cela représente « une étape importante pour la transition énergétique », ont déclaré les partenaires. Le parc éolien offshore de Saint-Nazaire, le premier en France à être mis en service, sera finalement en charge de 80 éoliennes. Ils seront progressivement installés d'ici la fin de l'année. Depuis sa première installation en avril, il a maintenant installé 27 éoliennes.
Alternative au solaire, d'autres parcs éoliens offshore sont en construction en France. Celui de Fécamp (Seine-Maritime) doit commencer à fonctionner en 2023, avant ceux de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor) et de Courseulles-sur-Mer (Calvados).
La France a pris du retard sur le terrain, mais le président Emmanuel Macron veut installer 50 parcs éoliens offshore d'ici 2050, d'une capacité totale de 40 GW. D'autre part, elle souhaite ralentir le développement prévu de l'énergie éolienne terrestre.
Cela représente « une étape importante pour la transition énergétique », ont déclaré les partenaires. Le parc éolien offshore de Saint-Nazaire, le premier en France à être mis en service, sera finalement en charge de 80 éoliennes. Ils seront progressivement installés d'ici la fin de l'année. Depuis sa première installation en avril, il a maintenant installé 27 éoliennes.
Alternative au solaire, d'autres parcs éoliens offshore sont en construction en France. Celui de Fécamp (Seine-Maritime) doit commencer à fonctionner en 2023, avant ceux de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor) et de Courseulles-sur-Mer (Calvados).
La France a pris du retard sur le terrain, mais le président Emmanuel Macron veut installer 50 parcs éoliens offshore d'ici 2050, d'une capacité totale de 40 GW. D'autre part, elle souhaite ralentir le développement prévu de l'énergie éolienne terrestre.