L’aube sonnait la fin des combats
J’avançais péniblement, abandonnant derrière moi
Les larmes, le poison et les cris
J’errais sur les quais, l’âme meurtrie.
Attirée vers le flowerburger endormi
une évidence m’appelant amie
Sans crainte, j’entre en son sein privé
Accueilli par les sourires des surprisiers
Je me sais alors protégée, amnésique,
Je me perds dans leurs danses hypnotiques
Leurs mots poétiques caressent mes maux
Qui s’écoulent, laissant la déesse des eaux
Abaisser les armes et apaiser la peur
Sa peau se déchire et sa mue de fleur
L’entraine dans leur bras où je me perds
Dans leurs chants joyeux, mes repères
Un nouveau battement de cœur vivace,
Auprès d’eux, j’oublierais sa trace.
J’avançais péniblement, abandonnant derrière moi
Les larmes, le poison et les cris
J’errais sur les quais, l’âme meurtrie.
Attirée vers le flowerburger endormi
une évidence m’appelant amie
Sans crainte, j’entre en son sein privé
Accueilli par les sourires des surprisiers
Je me sais alors protégée, amnésique,
Je me perds dans leurs danses hypnotiques
Leurs mots poétiques caressent mes maux
Qui s’écoulent, laissant la déesse des eaux
Abaisser les armes et apaiser la peur
Sa peau se déchire et sa mue de fleur
L’entraine dans leur bras où je me perds
Dans leurs chants joyeux, mes repères
Un nouveau battement de cœur vivace,
Auprès d’eux, j’oublierais sa trace.