dans cette absence de présence,
je n’entend que mes questions qui ressassent sans arrêt,
qui ne s’arrêtent que lorsque je suis moi même absente
dans un sommeil profond qui se fait rare , ou dans cet état d’ivresse que mon âme s’apaise
cette absence, ou plutôt cette inanité qui me porte , chaque jour un peu plus lourde,
me grignote petit à petit, sans que je ne puisse y échapper
Ce silence qui fait écho à mes pensées les plus envahissantes, qui ne cessent d’hurler toutes ces nuits blanches,
jusqu’à ne plus avoir assez de voix pour le jour.
Le jour est lumière, la nuit est sombre, et pourtant, le moment où l’on me perçoit le mieux , est dans la nuit.
La nuit est calme et passive, laissant le corps parlait de ce qu’il n’a pas oser dire le jour, laissant ses vérités s’échappaient, se libéraient de cet étouffement que le jour lui porte.
Cette obscurité , nous protège, et nous permet pendant un instant, d’être qui nous sommes réellement sans nous soucier de l’apparence que nous avons, ni de ce que les autres peuvent penser.
Elle nous écoute et nous berce, tout en gardant nos secrets caches, enfouis, dans cette noirceur que elle seule peut voir, sans qu’elle l’a juge.
Le jour, quant à lui, nous oblige à nous protéger nous même, et à nous y confronter, ce qui nous oblige à nous confronter à nous meme, on nous oblige a voir ce qu’on essaie d’ignorer le temps d’une journée , à devoir porter ce masque lourd et menaçant, de mettre en cage ses émotions et ses craintes, en laissant paraître ce joli sourire , pointé par ce soleil, qui nous oblige à mentir, et à devenir un autre.
je n’entend que mes questions qui ressassent sans arrêt,
qui ne s’arrêtent que lorsque je suis moi même absente
dans un sommeil profond qui se fait rare , ou dans cet état d’ivresse que mon âme s’apaise
cette absence, ou plutôt cette inanité qui me porte , chaque jour un peu plus lourde,
me grignote petit à petit, sans que je ne puisse y échapper
Ce silence qui fait écho à mes pensées les plus envahissantes, qui ne cessent d’hurler toutes ces nuits blanches,
jusqu’à ne plus avoir assez de voix pour le jour.
Le jour est lumière, la nuit est sombre, et pourtant, le moment où l’on me perçoit le mieux , est dans la nuit.
La nuit est calme et passive, laissant le corps parlait de ce qu’il n’a pas oser dire le jour, laissant ses vérités s’échappaient, se libéraient de cet étouffement que le jour lui porte.
Cette obscurité , nous protège, et nous permet pendant un instant, d’être qui nous sommes réellement sans nous soucier de l’apparence que nous avons, ni de ce que les autres peuvent penser.
Elle nous écoute et nous berce, tout en gardant nos secrets caches, enfouis, dans cette noirceur que elle seule peut voir, sans qu’elle l’a juge.
Le jour, quant à lui, nous oblige à nous protéger nous même, et à nous y confronter, ce qui nous oblige à nous confronter à nous meme, on nous oblige a voir ce qu’on essaie d’ignorer le temps d’une journée , à devoir porter ce masque lourd et menaçant, de mettre en cage ses émotions et ses craintes, en laissant paraître ce joli sourire , pointé par ce soleil, qui nous oblige à mentir, et à devenir un autre.
