#3 Espoir. Histoire horrifique/H.H.

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Ma respiration était bruyante et courte à force de courir. Mes pieds sans chaussures me faisaient atrocement mal. Mes mains saignaient, et des bouts de verres étaient restés dans ma peau. Mais au dessus de ces douleurs superficielles demeurait la douleur mentale. J'avais peur, j'avais froid étant en short de nuit et nuisette. Mon téléphone était resté dans la maison, et il était hors de question que j'y retourne...Cet homme. Je ne sais pas qui il est. Mais il souhaite ma mort.
Ma maison était en retrait et pour arriver aux autres maisons et la ville, il fallait que je passe par la forêt. Je n'y voyais que grâce à la pâle lumière de la lune.
Mais ses rayons passeront difficilement entre les les arbres.
Tout ce que je pouvais faire, c'était prier le ciel pour que je sorte vivante de cette forêt.
Alors après cette courte pause pour réfléchir, je m'avança vers la forêt effrayante devant moi.
Mais à peine entrée dans cette zone forestière, j'entendis un rire.
Un rire sans joie. Glacial, démoniaque. Il résonnait en écho à travers les arbres.
Il venait de derrière moi. Alors, je me retournais pour voir la silhouette de l'homme. Il m'avait suivie. Je voulais courir mais mes jambes ne bougeaient pas.
Mais...Je vis derrière l'homme plusieurs autres personnes, toutes masquées et armées.
Je compris qu'il n'était pas seul.
Alors je couru à travers les arbres, les branches me coupant les pieds. Je ne prêtait guère attention à la douleur qui me déchirait les pieds.
J'entendais les pas de ces inconnus derrière moi, et je hurlais dans le futile espoir que quelqu'un m'entende.
Je couru le plus vite qu'il m'était possible et je réussi à me mettre hors de vue.
Il me fallait une pause, avant de m'évanouir pas manque de souffle.
Alors je me cacha dans un épais buisson, en entendant les bruits de pas se rapprocher.
Je voulais reprendre mon souffle mais je me retenais de respirer...J'ai si peur.
L'un d'eux passa tellement près du buisson. Mais il s'arrêta devant.
Non, il ne pouvait pas avoir trouvé là où j'étais. J'en suppliais tout ce que je pouvais supplier de faire en sorte qu'il s'éloigne.
Par grande chance, c'est ce qu'il fit. Mais une détonation, un coup du fusil en l'air me fit lâcher un cri par mégarde. Je compris qu'il fallait que je parte rapidement.
Alors je repris ma couse effrénée, les larmes aux yeux.
Je voyais les lumières de la ville, les maisons. Il me fallait juste un dernier effort !
Je courais vers la sécurité de la ville aussi vite que je pouvais.
Mais d'un coup je sentis mes pieds quitter le sol...J'étais tombée. Les rires s'élevaient derrière moi, et je sentais qu'on me soulevait du sol. Je tentais vainement de les supplier.
- "Je vous en supplie par tous les dieux de me laisser...Je vous en p-prie !".
On frappa alors violemment ma tête, et je sombra dans les ténèbres, évanouie.


À suivre ?
 
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Bubble Tea
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Ma respiration était bruyante et courte à force de courir. Mes pieds sans chaussures me faisaient atrocement mal. Mes mains saignaient, et des bouts de verres étaient restés dans ma peau. Mais au dessus de ces douleurs superficielles demeurait la douleur mentale. J'avais peur, j'avais froid étant en short de nuit et nuisette. Mon téléphone était resté dans la maison, et il était hors de question que j'y retourne...Cet homme. Je ne sais pas qui il est. Mais il souhaite ma mort.
Ma maison était en retrait et pour arriver aux autres maisons et la ville, il fallait que je passe par la forêt. Je n'y voyais que grâce à la pâle lumière de la lune.
Mais ses rayons passeront difficilement entre les les arbres.
Tout ce que je pouvais faire, c'était prier le ciel pour que je sorte vivante de cette forêt.
Alors après cette courte pause pour réfléchir, je m'avança vers la forêt effrayante devant moi.
Mais à peine entrée dans cette zone forestière, j'entendis un rire.
Un rire sans joie. Glacial, démoniaque. Il résonnait en écho à travers les arbres.
Il venait de derrière moi. Alors, je me retournais pour voir la silhouette de l'homme. Il m'avait suivie. Je voulais courir mais mes jambes ne bougeaient pas.
Mais...Je vis derrière l'homme plusieurs autres personnes, toutes masquées et armées.
Je compris qu'il n'était pas seul.
Alors je couru à travers les arbres, les branches me coupant les pieds. Je ne prêtait guère attention à la douleur qui me déchirait les pieds.
J'entendais les pas de ces inconnus derrière moi, et je hurlais dans le futile espoir que quelqu'un m'entende.
Je couru le plus vite qu'il m'était possible et je réussi à me mettre hors de vue.
Il me fallait une pause, avant de m'évanouir pas manque de souffle.
Alors je me cacha dans un épais buisson, en entendant les bruits de pas se rapprocher.
Je voulais reprendre mon souffle mais je me retenais de respirer...J'ai si peur.
L'un d'eux passa tellement près du buisson. Mais il s'arrêta devant.
Non, il ne pouvait pas avoir trouvé là où j'étais. J'en suppliais tout ce que je pouvais supplier de faire en sorte qu'il s'éloigne.
Par grande chance, c'est ce qu'il fit. Mais une détonation, un coup du fusil en l'air me fit lâcher un cri par mégarde. Je compris qu'il fallait que je parte rapidement.
Alors je repris ma couse effrénée, les larmes aux yeux.
Je voyais les lumières de la ville, les maisons. Il me fallait juste un dernier effort !
Je courais vers la sécurité de la ville aussi vite que je pouvais.
Mais d'un coup je sentis mes pieds quitter le sol...J'étais tombée. Les rires s'élevaient derrière moi, et je sentais qu'on me soulevait du sol. Je tentais vainement de les supplier.
- "Je vous en supplie par tous les dieux de me laisser...Je vous en p-prie !".
On frappa alors violemment ma tête, et je sombra dans les ténèbres, évanouie.


À suivre ?
Je crois peut être que la « fille » a un problème mental ou que c’est son père qui veut la tuer... Mais c’est très bien comme toujours ✌🏻
 
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Ma respiration était bruyante et courte à force de courir. Mes pieds sans chaussures me faisaient atrocement mal. Mes mains saignaient, et des bouts de verres étaient restés dans ma peau. Mais au dessus de ces douleurs superficielles demeurait la douleur mentale. J'avais peur, j'avais froid étant en short de nuit et nuisette. Mon téléphone était resté dans la maison, et il était hors de question que j'y retourne...Cet homme. Je ne sais pas qui il est. Mais il souhaite ma mort.
Ma maison était en retrait et pour arriver aux autres maisons et la ville, il fallait que je passe par la forêt. Je n'y voyais que grâce à la pâle lumière de la lune.
Mais ses rayons passeront difficilement entre les les arbres.
Tout ce que je pouvais faire, c'était prier le ciel pour que je sorte vivante de cette forêt.
Alors après cette courte pause pour réfléchir, je m'avança vers la forêt effrayante devant moi.
Mais à peine entrée dans cette zone forestière, j'entendis un rire.
Un rire sans joie. Glacial, démoniaque. Il résonnait en écho à travers les arbres.
Il venait de derrière moi. Alors, je me retournais pour voir la silhouette de l'homme. Il m'avait suivie. Je voulais courir mais mes jambes ne bougeaient pas.
Mais...Je vis derrière l'homme plusieurs autres personnes, toutes masquées et armées.
Je compris qu'il n'était pas seul.
Alors je couru à travers les arbres, les branches me coupant les pieds. Je ne prêtait guère attention à la douleur qui me déchirait les pieds.
J'entendais les pas de ces inconnus derrière moi, et je hurlais dans le futile espoir que quelqu'un m'entende.
Je couru le plus vite qu'il m'était possible et je réussi à me mettre hors de vue.
Il me fallait une pause, avant de m'évanouir pas manque de souffle.
Alors je me cacha dans un épais buisson, en entendant les bruits de pas se rapprocher.
Je voulais reprendre mon souffle mais je me retenais de respirer...J'ai si peur.
L'un d'eux passa tellement près du buisson. Mais il s'arrêta devant.
Non, il ne pouvait pas avoir trouvé là où j'étais. J'en suppliais tout ce que je pouvais supplier de faire en sorte qu'il s'éloigne.
Par grande chance, c'est ce qu'il fit. Mais une détonation, un coup du fusil en l'air me fit lâcher un cri par mégarde. Je compris qu'il fallait que je parte rapidement.
Alors je repris ma couse effrénée, les larmes aux yeux.
Je voyais les lumières de la ville, les maisons. Il me fallait juste un dernier effort !
Je courais vers la sécurité de la ville aussi vite que je pouvais.
Mais d'un coup je sentis mes pieds quitter le sol...J'étais tombée. Les rires s'élevaient derrière moi, et je sentais qu'on me soulevait du sol. Je tentais vainement de les supplier.
- "Je vous en supplie par tous les dieux de me laisser...Je vous en p-prie !".
On frappa alors violemment ma tête, et je sombra dans les ténèbres, évanouie.


À suivre ?
j’adooooore xD c flippant j’aime trop TT
 
ZZZ
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Ma respiration était bruyante et courte à force de courir. Mes pieds sans chaussures me faisaient atrocement mal. Mes mains saignaient, et des bouts de verres étaient restés dans ma peau. Mais au dessus de ces douleurs superficielles demeurait la douleur mentale. J'avais peur, j'avais froid étant en short de nuit et nuisette. Mon téléphone était resté dans la maison, et il était hors de question que j'y retourne...Cet homme. Je ne sais pas qui il est. Mais il souhaite ma mort.
Ma maison était en retrait et pour arriver aux autres maisons et la ville, il fallait que je passe par la forêt. Je n'y voyais que grâce à la pâle lumière de la lune.
Mais ses rayons passeront difficilement entre les les arbres.
Tout ce que je pouvais faire, c'était prier le ciel pour que je sorte vivante de cette forêt.
Alors après cette courte pause pour réfléchir, je m'avança vers la forêt effrayante devant moi.
Mais à peine entrée dans cette zone forestière, j'entendis un rire.
Un rire sans joie. Glacial, démoniaque. Il résonnait en écho à travers les arbres.
Il venait de derrière moi. Alors, je me retournais pour voir la silhouette de l'homme. Il m'avait suivie. Je voulais courir mais mes jambes ne bougeaient pas.
Mais...Je vis derrière l'homme plusieurs autres personnes, toutes masquées et armées.
Je compris qu'il n'était pas seul.
Alors je couru à travers les arbres, les branches me coupant les pieds. Je ne prêtait guère attention à la douleur qui me déchirait les pieds.
J'entendais les pas de ces inconnus derrière moi, et je hurlais dans le futile espoir que quelqu'un m'entende.
Je couru le plus vite qu'il m'était possible et je réussi à me mettre hors de vue.
Il me fallait une pause, avant de m'évanouir pas manque de souffle.
Alors je me cacha dans un épais buisson, en entendant les bruits de pas se rapprocher.
Je voulais reprendre mon souffle mais je me retenais de respirer...J'ai si peur.
L'un d'eux passa tellement près du buisson. Mais il s'arrêta devant.
Non, il ne pouvait pas avoir trouvé là où j'étais. J'en suppliais tout ce que je pouvais supplier de faire en sorte qu'il s'éloigne.
Par grande chance, c'est ce qu'il fit. Mais une détonation, un coup du fusil en l'air me fit lâcher un cri par mégarde. Je compris qu'il fallait que je parte rapidement.
Alors je repris ma couse effrénée, les larmes aux yeux.
Je voyais les lumières de la ville, les maisons. Il me fallait juste un dernier effort !
Je courais vers la sécurité de la ville aussi vite que je pouvais.
Mais d'un coup je sentis mes pieds quitter le sol...J'étais tombée. Les rires s'élevaient derrière moi, et je sentais qu'on me soulevait du sol. Je tentais vainement de les supplier.
- "Je vous en supplie par tous les dieux de me laisser...Je vous en p-prie !".
On frappa alors violemment ma tête, et je sombra dans les ténèbres, évanouie.


À suivre ?
😲😲😲😲😲😲😲😲😲😲😲😲😲😲
C'est trop cooooool.
P***in, en vrai je te découvre pour la première fois, Bεγφηd•βιπτħdαγ Bεγφηd•βιπτħdαγ, mais, vraiment, gg!
 
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