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[QUOTE="Valona, post: 428366, member: 780"] [URL='https://servimg.com/view/19843399/523'][IMG alt="Poster une réponse Forum_32"]https://i.servimg.com/u/f58/19/84/33/99/forum_32.jpg[/IMG][/URL] Mes fêtes de Noël La première fête de Noël a eu lieu jeudi soir, dans mon club de Karaté. Une belle organisation. Sobre. Il y a des collègues karatékas que je n'ai jamais vu en tenue de ville. Michel, mon entraîneur, a sélectionné les meilleures images de nos compétitions nationales. J'ai beaucoup aimé me revoir à quatorze ans pour ma première rencontre nationale. L'obtention de ma ceinture noire quand j'avais seize ans à Limoges. Autant de souvenirs qui passaient sur les écrans accrochés dans la salle de conférence. Pendant que nous bavardions devant des toasts en sirotant nos jus de fruits. La seconde fête eut lieu au centre hippique, samedi après-midi. Mes copines avec qui je monte depuis mes six ans. Comme le temps passe ! Ça fait déjà seize ans que je pratique l'équitation. Les moniteurs, les entraîneurs, le Président et le directeur étaient là avec leurs compagnes. Bruno, mon premier entraîneur a organisé une parade dans le manège. J'adore ses capacités d'organisations. Superbes. Mais Bruno est également un coquin. J'avais quatorze ans, il y a huit ans, quand il a suscité mes premiers véritables émois sexuels. Cette grosse bosse que je tentais d'identifier. Cette grosse bosse qui déformait sa culotte d'équitation. Je me souviens m'être débrouillée souvent pour rester après les autres filles pour regarder le plus discrètement possible cette "chose" étonnante, parfois parfaitement moulée dans son pantalon. Je brossais mon cheval avec un zèle qui amusait beaucoup Bruno. Il avait vingt quatre ans à l'époque. Beau brun ténébreux aux yeux noirs qui était le premier homme à véritablement me troubler. Me faisant découvrir mes premiers intérêts. Me faisant prendre conscience des plaisirs que je prenais au voyeurisme. Bruno s'est d'ailleurs rendu compte très vite de ce qui éveillait ainsi mon intérêt. C'est qu'il savait entretenir la flamme. Durant deux années où nous avons "joué" sans aucun dérapage. Il devait beaucoup s'amuser. Je me souviens de situations équivoques, insolites, terriblement troublantes. Bruno savait m'offrir ce que je désirais voir sous ses tissus. Pas toujours très discrète. Je me souviens de l'anniversaire de mes seize ans. Bruno m'a offert le DVD de toutes mes compétions équestres. Il en avait fait le montage. Magnifique. Je le possède toujours. C'est une véritable rétrospective de ma vie de cavalière. Il y a toutes les coupes remportées dans les disciplines équestres à côté de celles de mes compétions de karaté dans une grande vitrine du salon familiale. Mais le jour de mes seize ans il m'a offert un autre "cadeau". D'une toute autre nature. Nous étions seuls dans l'allée centrale de l'écurie. Quelques minutes. Il avait soigneusement préparé ma "surprise". Sa culotte d'équitation, aussi moulante qu'un legging, beige, présentait la forme de son érection. Sur le haut de sa cuisse. J'étais à la fois très gênée, très étonnée mais rapidement extrêmement émoustillée par cette vison. Toutes les formes, dans leurs plus intimes détails m'étaient présentées là. Je sentais la sueur me picoter le nez. Couler entre mes omoplates. Je me sentais stupide, comme souvent, devant ce genre de "spectacle". Bruno, debout, bien campé sur ses jambes, les mains sur ses hanches, me regardait avec un sourire coquin. Espiègle, silencieux, il savourait le petit effet qu'il avait sur ma psyché. Je ne pouvais plus détacher mon regard de cette forme terriblement suggestive. La couleur chair du pantalon d'équitation rajoutait encore à mon "hallucination". << Bon anniversaire Valona ! >> prononça t-il deux en martelant chaque syllabe. Il faisait bouger son érection. J'étais comme hypnotisée. Incapable de dire quoi que ce soit. Bruno m'a fait là son plus beau cadeau. Mais la situation devint rapidement insurmontable. Je tournais des talons pour rejoindre la salle de réception. Bruno fréquente une fille qui a commencé l'équitation avec moi en 2007. Depuis deux ans. Il y a bien eu quelques récidives entre temps. Après les indicibles plaisirs du voyeurisme, Bruno, à son insu, m'a fait découvrir les indicibles plaisirs de l'exhibition. Je me suis très rapidement mise à l'imiter. À tenter mes premières expériences. J'éprouvais les premiers plaisirs à être "vue". Je raconte ces souvenirs qui me reviennent souvent à l'esprit. Tout spécialement après ce qui s'est passé samedi dernier, pour la fête de Noël. Il y a trois jours. Bruno, toujours organisateur des festivités, a décoré l'espace. Un magnifique sapin. Huit mètres de haut, au milieu du manège. Clignotant de mille feux. Nous bavardons toujours un peu ensemble. Surtout qu'avec Valentine, ils ont le souhait de créer leurs centre hippique d'ici cinq ans. Je quitte la salle de la fête pour aller caresser nos chevaux. Nos trois chevaux sont en pensions ici. Nous n'avons ni le temps ni les installations pour les garder à la mauvaise saison. Je suis seule dans l'écurie. Du moins je le crois. Je me dirige vers le fond de l'allée entre les box. Il y a le local d'entretien, des armoires électriques, des outils. Je contourne le coin pour aller vers le cabinet de toilettes. Me laver les mains au lavabo. Le pantalon à mi cuisse, je tombe sur Bruno qui se masturbe. Je suis d'abord effrayée, ne le reconnaissant pas immédiatement. << Joyeux Noël, Valona ! >> me dit il en chuchotant. Il agite son sexe dans ma direction. Il rajoute : << Ça fait huit ans que j'avais envie de faire ça ! >>. Je reste silencieuse. Je compare son érection avec celle de Jonathan. Ils sont tous deux dotés d'un bel organe. << Tu es fâchée ? Tu m'en veux ? Si tu vas me dénoncer je n'aurai que ce je mérite ! >> fait-il encore. Je me contente de sourire. Je le fixe longuement, sans regarder son sexe. Je veux pénétrer jusqu'au plus profond de son être. Je le jauge. Il me faut réunir tout mon courage pour jouer à la "juge". C'est lui qui est maintenant terriblement gêné. Au point qu'il en perd de sa superbe. Son érection n'est plus qu'un souvenir. Il remballe en disant : << Pardonne-moi, c'était trop fort. Tu es tellement excitante ! >>. Je reste silencieuse. Je sais l'effet que j'exerce sur les garçons. À nouveau correctement vêtu Bruno lance : << Mais dis-moi quelque chose. Ne me laisse pas dans le doute ! S'il te plaît ! >>. Je m'approche pour le saisir par le bras. Nous marchons lentement dans l'allée centrale de l'écurie. Sur les cinquante mètres. Je m'arrête. Je me tourne vers lui pour répondre à toutes ses interrogations, à toutes ses inquiétudes : << Ça faisait huit ans que je me demandais à quoi "elle" pouvait bien ressembler. Merci. Maintenant je le sais. Elle a de la chance Valentine ! >>. Je pose ma main sur sa bouche pour l'empêcher de dire une bêtise. Je conclue : << Je te laisse-là. Que personne n'aille s'imaginer quoi que ce soit ! >>. Je me dépêche de sortir la première. << Valona ! >> crie Bruno. Je me retourne. Je pose l'index sur mes lèvres pour imposer le silence. Je rejoins tout le monde. Il va être seize heures trente. Je ne vais pas tarder. Je commence à saluer les gens encore présents. Bruno et Valentine. Je lui adresse un rapide clin d'œil complice. Je lève tout aussi discrètement mon pouce comme pour féliciter sa témérité. Dans la voiture, sur la dizaine de kilomètres, je me touche. Je me remémore la situation. J'ai son numéro de téléphone dans mon répertoire. Arrivée à la maison, avant de préparer les pâtisseries pour Noël, je compose un texto à l'attention de Bruno. Un seul mot. "Merci". J'espère que ce ne sera pas Valentine qui tombera sur ce message. L'idée m'amuse car Bruno ne manque pas d'imagination si cela devait être le cas. À bientôt [URL='https://servimg.com/view/19843399/524'][IMG alt="Poster une réponse Valon122"]https://i.servimg.com/u/f58/19/84/33/99/valon122.jpg[/IMG][/URL] [/QUOTE]
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