Menu
Accueil
Forum Débats
Forum Vie quotidienne
Forum culture
Actualités
Forums
Discussions sans réponses
Membres
Quoi de neuf
Nouveaux messages
Nouveaux médias
Nouveaux commentaires (Médias)
Nouveaux articles
Dernières activités
Médias
Nouveaux médias
Nouveaux commentaires
Rechercher un média
Blogs
Recherche de blogs
💵 0 Fofocoins
🛒 Boutique
Quoi de neuf ?
Rechercher par titre uniquement
Par:
Discussions sans réponses
Membres
Menu
Connexion
S'inscrire
Accueil
Forums
Vie quotidienne
Sexualité
Mon défi du jour
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, s'il vous plaît activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur non à jour ou ancien. Il ne peut pas afficher ce site ou d'autres sites correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="Valona, post: 373343, member: 780"] [URL='https://servimg.com/view/19843399/410'][IMG alt="Mes actualités - Mes vacances - Mes aventures Valona43"]https://i.servimg.com/u/f58/19/84/33/99/valona43.jpg[/IMG][/URL] Je m'offre quelques délicieux frissons C'est le dernier lundi de vacances dans notre résidence secondaire. Cet ancien corps de ferme que j'affectionne tant et depuis toute petite. Il fait beau. C'est le retour d'une séquence d'ensoleillement. Je prends le petit déjeuner avec mes parents. Nous écoutons les informations en faisant la vaisselle. C'est consternant de bêtises quand on entend dire que nous allons revivre une vague de chaleur comme en plein été. Mais pauvre imbécile, nous sommes encore en plein été. Nous ne sommes que le 4 septembre et ces températures sont tout à fait normales. Qu'est-ce que ces 30° prévus ont d'exceptionnels ? De l'information formatée, calibrée, imposée, pour auditeurs décérébrés. Quand les médias disent qu'il fait chaud, il fait chaud. Quand les médias disent qu'il fait froid, il fait froid. On ne discute pas. Tout cela participe de cette atmosphère anxiogène intentionnellement entretenue. J'emmène mes parents au port de plaisance pour dix heures. Leur bateau les y attend. Ils ont résolu le problème du stationnement à quai durant l'hiver. Avec les travaux prévus, le bateau sera amarré de l'autre côté du ponton. Papa et maman s'offrent la dernière croisière de l'été. Jusqu'à vendredi. Ils vont remonter jusqu'au large de La Rochelle puis longer les côtes du Morbihan. Je les laisse à leur projet d'amoureux. Au retour je m'arrête à la supérette pour y faire mes emplettes. Je retrouve ma solitude adorée. Avec les beaux jours qui s'annoncent je vais moi aussi m'offrir du bon temps. Je peux enfin pratiquer mon jogging quotidien avec un heure de retard. Prendre une bonne douche. Une rapide salade de tomates. Un gratin de coquillettes accompagné d'un filet de flétan poêlé. Voilà mon simple mais délicieux repas de midi. La vaisselle. Je me lave les dents en faisant des pitreries devant le miroir de la salle de bain. Je reste vêtue de ma jupette de fin coton carmin, de mon T-shirt brun. Pressée de filer je mets quelques fruits et des barres de céréales dans le petit sac à dos que j'emmène partout avec moi. Papa a contrôlé la pression des pneus de mon vélo. 5,5 bars à l'avant comme à l'arrière. Ce sont des pneus Schwalbe "Marathon plus". Une couche de kevlar de 5 mm me met à l'abri d'éventuelles crevaisons. C'est parti. Direction le camping et ses activités ludiques. Il y a une dizaine de kilomètres en haut des falaises puis le long des plages. Un agréable et léger vent de l'océan rajoute au plaisir de rouler sur cette étroite piste cyclable. Je croise nombre de cyclistes. Des filles en rollers. Le soleil dans un bleu d'azur. Je roule d'un rythme de promenade. J'arrive aux environs de 14 h45. J'aime lorsqu'il fait chaud. La chaleur me galvanise, me donne une énergie supplémentaire. Il y a beaucoup moins de campeurs en ce début septembre. Avec la rentrée scolaire les familles ont disparu. Le silence est revenu. Il reste surtout des vans et des caravanes. Principalement des séniors ou des étrangers pour la plupart Anglais. Je ferme ma bicyclette à cadenas près du bureau d'accueil. Je connais bien la dame. Je paie la location de mon équipement. Je vais me faire une partie de mini golf. Surtout qu'il n'y a personne sur le parcours à dix huit trous. Si ce n'est ce couple là-bas. Je pose les feuilles et le stylo sur le pupitre. J'affine mon swing. Bien décidée à marquer chaque trou du premier coup. J'ai toutefois droit à sept coups pour chacun d'eux. Je veux battre mon précédent record. Il y a un groupe d'Anglais qui arrivent. Je suis déjà à la troisième station. Cette piste comprend une chicane qu'il faut éviter si je veux placer ma balle. Deux couples de Britanniques qui rient aux éclats et dont l'une des protagonistes filme les "performances" de ses compatriotes. Je reste concentrée sur mon jeu. Troisième piste, troisième victoire. Je passe à la station 4. La balle doit passer sous deux arceaux. J'étudie et j'anticipe le trajet que va devoir faire la balle. Je suis toute à ma réflexion quant je suis alertée par mon sixième sens. De l'autre côté du grillage, à environs une vingtaine de mètres, un quidam installé sur un des trois bancs. Il semble plongé dans la lecture d'un magazine. Je n'y prends pas plus garde que ça. Après tout il y a souvent des gens là. Tout en jouant, en remportant mes challenges haut la main et du premier coup, je regarde quelquefois le lecteur sur son banc. Il doit avoir la quarantaine. En bermuda kaki et chemisette bleu. Une casquette rouge. À côté de lui un sac musette duquel il tire une bouteille d'eau. Cette fois je surprends son regard. Il regarde par ici. Derrière les verres fumés de mes Ray Ban "aviateur", je peux loucher où bon me semble sans qu'on ne puisse se douter où. Je découvre que cet inconnu est beaucoup plus préoccupé par mon swing que par sa revue. Il mâte d'ailleurs à s'en déboîter les globes oculaires. J'ai très rapidement la certitude que ce n'est pas mon jeu, pourtant exemplaire, qui polarise ainsi son attention. C'est alors qu'un autre défi, d'une toute autre nature, fait irruption dans mon esprit. Ce n'est certes pas la première fois que je vis pareille situation en cet endroit. Chaque station de ce charmant mini golf est entouré de haies de lauriers et de houes. Ce qui permet d'isoler les joueurs de la station voisine. Mais depuis les bancs, de l'autre côté du grillage, un regardant peut voir une bonne dizaine de ces pistes. J'en suis à la piste 7. J'aime prendre mon temps, anticiper longuement mon prochain coup. Mais là, depuis quelques minutes, c'est un tout autre "coup" que j'étudie. Et je n'en suis pas à mon coup d'essai. Cette fois, en m'accroupissant pour glisser ma main au fond du trou, je le fais sciemment et de façon frontale en direction de mon voyeur. La distance m'empêche de lire les expressions de son visage. Toujours est-il qu'il fait très bien semblant de rester plongé dans sa lecture. Bien décidée à relever ce nouveau défi, je récidive à plusieurs reprises. Le quidam semble rester imperturbable. De quoi émoustiller mes sens et stimuler ma libido. À chaque fois que je m'accroupis, j'écarte davantage les cuisses. Ma prestation me plonge dans ces émotions qui me couvrent de délicieux frissons. Les pistes sont toutes ombragées. Des platanes séculaires protègent les joueurs des morsures du soleil. Et ça "cogne". Comment pourrais-je retirer ma culotte ? Il faudrait passer à la station 12. Hors il m'en reste quatre. Et je veux absolument les dompter de mon jeu de plus en plus précis. Tant pis. Après tout le coton blanc de ma culotte permet de focaliser l'attention de ma "victime" tout aussi bien, sinon mieux, sous ma jupette. Ce n'est plus seulement la trajectoire de la balle que j'analyse. C'est surtout l'angle de vue qui reste mon souci premier. Mes positions d'une indécence folle portent leurs fruits. À présent le quidam m'observe. Ravie d'être le centre d'attraction, enchantée d'être regardée, j'offre à mon voyeur une prestation de très haute qualité. J'excelle dans cette activité que d'aucun pourrait qualifier d'exhibitionnisme. Voilà encore un grand moment de plaisir. Ce subtil mélange des sens où se mêlent excitation, honte et témérité. Je suis couverte de sueur. Non, ce n'est pas à cause de la chaleur car il fait très agréable sous les frondaisons du mini golf. Je passe ainsi chaque piste en accentuant mes positions. Je reste vigilante car j'entends les autres joueurs qui se rapprochent inexorablement. Je reste à chaque fois accroupie au-dessus du trou jusqu'à la limite de l'ankylose. C'est trop bon. C'est trop bien. C'est gratifiant. Je suis terriblement excitée. Au point de me toucher. Moi aussi à présent je fixe cet inconnu. Certainement gêné, il baisse souvent les yeux. Il ne peut voir les miens mais il sait bien que je le toise. Il me voit. Je passe tout l'éventail des attitudes. De l'offusquée qui resserre ses cuisses à la délurée qui les écarte. Je dois cesser car je vais me faire surprendre par les deux couples qui sont sur la piste voisine, numéro 10. Je quitte le champs de vision de mon voyeur. Un peu à contre cœur. Comment vais-je faire ? Je décide de retourner sur une des stations précédentes en faisant mine d'y avoir égaré ou oublier quelque chose. Quelle déconvenue. Quelle déception, mon charmant "spectateur" est parti. J'ai beau scruter les environs avec ma minuscule paire de jumelles. Plus personne. Ce lundi après-midi, je ne bat pas mon record... À bientôt [URL='https://servimg.com/view/19843399/411'][IMG alt="Mes actualités - Mes vacances - Mes aventures Valona44"]https://i.servimg.com/u/f58/19/84/33/99/valona44.jpg[/IMG][/URL] [/QUOTE]
Nom d'utilisateur
🤖 Vérification anti robots
Poster une réponse
Accueil
Forums
Vie quotidienne
Sexualité
Mon défi du jour