Je ne suis pas triste.
Mais en ce moment, j'ai l'impression que la vie me fout un sacré doigt d'honneur en pleine face.
Je dirais que je suis… submergée. Perdue. Qu'un alien vient de me faire un croche-pieds avant de se barrer en motocyclette. J'ai envie d'être mais ne le suis pas ; je me cache de ne pas être alors je semble l'être. Peut-être qu'au final, j'ai définitivement un problème avec les gens, aussi.
Je ne sais pas, je n'arrive pas à les comprendre,… et je me sens tellement nulle autour d'eux que passer ne serais-ce qu'une journée de cours auprès de ma classe devient de plus en plus fatiguant, stressant, compliqué,… c'est comme si on me mettait la tête dans une fosse océanique sur Neptune et laissait mes pieds sur Terre, dans la foule. Et le pire c'est que je ne suis même pas… timide. Non ! Mais, quand je dois avoir une discussion avec plus d'une personne, je ne me sents pas bien.
Je n'y arrive plus. Vraiment. Et j'ai le sentiment que ça va être de pire en pire : déjà, depuis quelque années, je stressais littéralement à l'évoquation de relations amoureuses ; puis ça à commencé à s'étendre aux gens en général, à certaines situations… (me tromper de file au self, par exemple. Quelle horreur). Ce n'est pas le peur : c'est une sorte d'anxiété. Je n'ai pas réussi à m'intégrer dans mes cours de solfège…
Ça fait une demie-année.
Je suis à bout de nerfs.
En société, j'étouffe. Et ça devient presque de la haine.
À vrai dire, je me hais un peu moi-même : pourquoi ? Je ne suis lloin d'être intelligente ; je ne suis pas belle ; mon humour est socialement inacceptable; je ne suis pas douée ; pas de bons conseils ; et je n'ai pas de cœur. J'ai l'impression de mentir à tout le monde, même si je m'efforce d'être honnête. C'est plus fort qu'une grève SNCF.
Les gars, je suis la version Wish d'un blob. Je suis née sur le Salon de l'Agriculture sous les pieds d'un mouton !
Bref.
Comprenez, j'ai envie de faire de grandes choses un jour. J'ai peut-être trop d'ambition, le problème, c'est qu'en plus je n'ai pas les clés pour y arriver un jour. Mais je n'ai pas de motivations.
À c'qui parait je revasse trop ; je me transporte quelque part qui semble être le siècle dernier…
C'est tout, je crois.
Au revoir.
Mais en ce moment, j'ai l'impression que la vie me fout un sacré doigt d'honneur en pleine face.
Je dirais que je suis… submergée. Perdue. Qu'un alien vient de me faire un croche-pieds avant de se barrer en motocyclette. J'ai envie d'être mais ne le suis pas ; je me cache de ne pas être alors je semble l'être. Peut-être qu'au final, j'ai définitivement un problème avec les gens, aussi.
Je ne sais pas, je n'arrive pas à les comprendre,… et je me sens tellement nulle autour d'eux que passer ne serais-ce qu'une journée de cours auprès de ma classe devient de plus en plus fatiguant, stressant, compliqué,… c'est comme si on me mettait la tête dans une fosse océanique sur Neptune et laissait mes pieds sur Terre, dans la foule. Et le pire c'est que je ne suis même pas… timide. Non ! Mais, quand je dois avoir une discussion avec plus d'une personne, je ne me sents pas bien.
Je n'y arrive plus. Vraiment. Et j'ai le sentiment que ça va être de pire en pire : déjà, depuis quelque années, je stressais littéralement à l'évoquation de relations amoureuses ; puis ça à commencé à s'étendre aux gens en général, à certaines situations… (me tromper de file au self, par exemple. Quelle horreur). Ce n'est pas le peur : c'est une sorte d'anxiété. Je n'ai pas réussi à m'intégrer dans mes cours de solfège…
Ça fait une demie-année.
Je suis à bout de nerfs.
En société, j'étouffe. Et ça devient presque de la haine.
À vrai dire, je me hais un peu moi-même : pourquoi ? Je ne suis lloin d'être intelligente ; je ne suis pas belle ; mon humour est socialement inacceptable; je ne suis pas douée ; pas de bons conseils ; et je n'ai pas de cœur. J'ai l'impression de mentir à tout le monde, même si je m'efforce d'être honnête. C'est plus fort qu'une grève SNCF.
Les gars, je suis la version Wish d'un blob. Je suis née sur le Salon de l'Agriculture sous les pieds d'un mouton !
Bref.
Comprenez, j'ai envie de faire de grandes choses un jour. J'ai peut-être trop d'ambition, le problème, c'est qu'en plus je n'ai pas les clés pour y arriver un jour. Mais je n'ai pas de motivations.
À c'qui parait je revasse trop ; je me transporte quelque part qui semble être le siècle dernier…
C'est tout, je crois.
Au revoir.